Témoignage : Comment j'ai optimisé ma fiscalité en devenant résident bulgare

Retour d'expérience d'un entrepreneur français qui a fait le choix de la résidence fiscale bulgare. Processus, difficultés et résultats.

JM
Jean-Michel Dupont
Entrepreneur, résident fiscal bulgare

Jean-Michel Dupont, 42 ans, dirigeant d'une agence de marketing digital, a fait le choix de la résidence fiscale bulgare en 2022. Il nous livre son témoignage complet sur cette expérience qui a transformé sa situation fiscale et sa qualité de vie.

Ma situation avant la résidence fiscale bulgare

En 2021, j'étais dirigeant d'une agence de marketing digital basée à Lyon. Mon entreprise générait un chiffre d'affaires d'environ 800 000 € par an, avec des bénéfices confortables. Cependant, la pression fiscale française devenait de plus en plus lourde :

  • Impôt sur le revenu dans la tranche à 41 %
  • Prélèvements sociaux de 17,2 % sur mes dividendes
  • ISF sur mon patrimoine immobilier
  • Charges sociales importantes en tant que dirigeant

Au final, je reversais plus de 60 % de mes revenus à l'État français. Cette situation m'empêchait de développer sereinement mon entreprise et de constituer un patrimoine pour ma famille.

La découverte de la résidence fiscale bulgare

C'est lors d'un salon d'entrepreneurs que j'ai découvert les avantages de la résidence fiscale bulgare. Les chiffres m'ont immédiatement interpellé :

  • 10 % d'impôt sur le revenu
  • 5 % sur les dividendes
  • Pas d'ISF ni de droits de succession
  • Procédures simplifiées

J'ai d'abord été sceptique. Comment un pays de l'Union européenne pouvait-il offrir de tels avantages ? Après plusieurs mois de recherches et de consultations avec des experts, j'ai compris que c'était parfaitement légal et sécurisé.

Les étapes de ma transition

Phase 1 : Évaluation et préparation (3 mois)

J'ai commencé par faire appel à des experts spécialisés dans la résidence fiscale bulgare. Cette phase a inclus :

  • Analyse complète de ma situation fiscale
  • Simulation des économies potentielles
  • Étude de faisabilité pour mon activité
  • Préparation du dossier administratif

Phase 2 : Installation en Bulgarie (2 mois)

L'installation physique a été plus simple que prévu :

  • Recherche et location d'un appartement à Sofia
  • Ouverture d'un compte bancaire bulgare
  • Inscription auprès des autorités locales
  • Dépôt de la demande de résidence fiscale

Phase 3 : Restructuration de l'activité (4 mois)

J'ai dû adapter mon organisation professionnelle :

  • Création d'une société bulgare
  • Transfert d'une partie de l'activité
  • Mise en place du télétravail pour l'équipe française
  • Optimisation des flux financiers

Les difficultés rencontrées

Barrière de la langue

Bien que de nombreux Bulgares parlent anglais, la barrière linguistique a parfois compliqué les démarches administratives. Heureusement, mon accompagnement incluait des traducteurs et des interprètes.

Adaptation culturelle

S'adapter à un nouveau pays n'est jamais évident. Les différences culturelles, bien que mineures au sein de l'UE, demandent un temps d'adaptation.

Gestion de la distance

Maintenir le lien avec mon équipe française et mes clients a nécessité une réorganisation complète de mes méthodes de travail.

Les résultats après 2 ans

Économies fiscales spectaculaires

Les résultats dépassent mes espérances :

  • Avant : 180 000 € d'impôts et charges par an
  • Après : 45 000 € d'impôts par an
  • Économie : 135 000 € par an

Développement de l'activité

Avec cette trésorerie supplémentaire, j'ai pu :

  • Investir dans de nouveaux outils et technologies
  • Recruter des talents supplémentaires
  • Développer de nouveaux services
  • Constituer des réserves financières solides

Qualité de vie améliorée

Au-delà des aspects financiers, ma qualité de vie s'est considérablement améliorée :

  • Moins de stress lié à la pression fiscale
  • Plus de temps pour développer l'entreprise
  • Découverte d'un nouveau pays et d'une nouvelle culture
  • Coût de la vie plus abordable

Mes conseils pour réussir sa transition

1. Bien s'entourer

Ne tentez pas l'aventure seul. Faites appel à des experts spécialisés qui connaissent parfaitement les procédures et les pièges à éviter.

2. Anticiper et planifier

La transition prend du temps. Comptez au minimum 6 à 9 mois pour une installation complète et sécurisée.

3. Respecter scrupuleusement les obligations

La condition des 183 jours de présence physique est non négociable. Organisez-vous pour la respecter.

4. Maintenir ses liens professionnels

Investissez dans les outils de communication et de collaboration pour maintenir la qualité de service avec vos clients français.

Conclusion : Un choix que je ne regrette pas

Deux ans après ma transition vers la résidence fiscale bulgare, je peux affirmer que c'est l'une des meilleures décisions de ma carrière d'entrepreneur. Les économies fiscales me permettent de réinvestir massivement dans mon entreprise et de sécuriser l'avenir de ma famille.

Bien sûr, cette solution ne convient pas à tout le monde. Elle demande une certaine flexibilité géographique et une capacité d'adaptation. Mais pour les entrepreneurs comme moi, qui peuvent exercer leur activité à distance, c'est une opportunité exceptionnelle.

Si vous hésitez encore, je ne peux que vous encourager à vous renseigner sérieusement. Les économies potentielles sont telles qu'elles justifient largement l'investissement en temps et en énergie nécessaire à cette transition.

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